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28 février 2009




BATIKPOWN.cil

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InVidé par Memory Three à 18:34





24 février 2009




BogueDailyShitLoad

ça recommence, cette sensation, sournoise – de dévers. ça recommence et ça s'accumule. il y a une bonde de secondes qui fuit, sans ouf compresse pour mes nerfs, ah ça recommence, oui. ça recommence à fuir, à me fuir – bordel de bonde. à s'échapper, à m'échapper. ça prend forme, ça se déforme, sournoisement en dévers. par capillarité. login, merde aucun des 15 mots de passe ne veut, CAPS LOCK, virgules, tout ça, rien ne veut. les degrés, putain, la capillarité du moment, les faces, leurs faces – de fions. en mono, toujours, et pas l'ombre ouf d'une compresse pour mes neurones, je veux vibre. reload :toujours rien. donne tout, sois purge, sois efficace, téléphones en background, pas l'ombre en background, bavardages pressés, invectivés, résultat. purge. abandonne tout, chapitre six, démonstration et dimensionnement. dégradation des hypothèses, passage en revue de l'impact, je suis purge, je suis invectivé par le fonctionnement, les rouages purgent, te délitent, te transforment en fuyard :de toi-même. je rentre dans son bureau, lord of the bones, j'entends quelques instants ses expligations, chercher dans un tableau, puis le background me submerge, la conversation dans le cube d'à côté, stérile et le ciel. dessous, nous nous broyons les os dans la machine, le progrès est-ce la machine qui nous broie les os, à l'aise, nous, cous donnés, abandonnées, tendus – facile pour elle, inertiée. je verse, dévers sournois, je ne dépasse rien, je rentre dans son bureau et d'emblée je vois le ciel qui s'y déverse. tout y surnage, tout y est :rien. réunion, il se désarticule les explications, les bras venteux, il occupe un parallélépipède, il occupe une existence, lord of the bones, mais purge, purge lui-même, se, et les autres – donnez tout. soyons purge, mais je n'ai pas ma ouf compresse – ainsi que mon habilitation à faire abstraction du background, des stockages de cubes qui résonnent, téléphones.

InVidé par n(cqls)² à 22:02





23 février 2009




ULTRURAEL

ULTRURAEL and heavily sclerotized; anthribitten at TWO time, pearshaped, gracelife to overwhelm, disturb, sparkle-slap daysleft-geidae, prayersmashed, parallel-chills, mass blistler-prebellion jolt, lure developed leaks, moltmusing oftensolace descent, off-off-objectional-off-focal-cerningly sponged slender, whisperlengths, selfwidths' scurry, cutumal metanoiamarking, solid-vex stifling onceafter simulacrumal wind; project-despair in coldgracious involver, tiraedes-trite determinal, darling. Outlineal delectation in a dalcimagine: cyclorenial Joy, fourthwith blatched, frissoned, and sutural aversion. is it and suggested a branchheaded mute-after tetrafright. When precipitated will. Muliebral tricks. Cheliceral thrillagree spumy Ittenial contrast Function of the Flap. Foist chancalsome indications of the Whip. Liodminal luxury-neverthelessed is still. Through COLOUR Secondventure of a stepladder, lateral. This happens when ARTIFICIAL.

Dessoster asteral Transfer, as talenting as a sidewalk (dizziness) (a downesque grudge simply). Geometric fall-in? RIDICULED. BIBLICAL RADIANCE WARP (see my compromise).

these were my bronchial boundaries till U come and stuffface? and 6 wouldn't accomodate but ØØ6Ø Shall.

InVidé par Memory Three à 05:10





22 février 2009




Dead Soul


InVidé par [g-Cl4RENKO] à 01:02





21 février 2009




NiasDu²ne rebor.g


InVidé par n(cqls)² à 00:18





20 février 2009




|NS@n3


InVidé par [g-Cl4RENKO] à 00:15





17 février 2009




Ce serait comme une trajectoire. On est une trajectoire. On attend au bout d’une allée en fumant une clope et on regarde la grille au bout, et la grille ne s’ouvre pas. Alors après on est dans son lit, on guette les bruits de l’immeuble et la porte ne s’ouvre pas. Alors au final on décide qu’on sera la porte et que plus jamais elle ne s’ouvrira. On sera moins emmerdé. Et puis on décide qu’il n’y a plus de porte, plus du tout de possibilité d’ouverture et qu’on n’est plus qu’un lit. Et on fume. On est infiniment plus soulagé. Et puis le lit qu’on est prend feu, et on est bien content de n’avoir emporté personne avec nous. Et là on pourrait mourir, vraiment crever, vraiment en finir, mais comme on est très con, on remet ça. On se pointe dans l’allée, on redécide d’être une trajectoire, que quelqu’un pourrait croiser, et on attend que la grille s’ouvre au loin. On fume clope sur clope. Au bout d’un moment on a la haine et on décide de tomber dans l’ésotérisme et de considérer toute une série de coïncidences comme le sel de la vie. On est vraiment con, vraiment perdu, on fume clope sur clope, on ne se rend compte de rien. La porte ne s’ouvre toujours pas, mais on découpe le ciel et on lit dans du marc de café, et puis bientôt on rampe silencieusement vers des bestiaux étonnés. Et puis bientôt on est agités de mouvements passionnés. Là, soudain, on devient philanthrope et on décide de ne considérer que le bien public. En fumant clope sur clope. On est aimable et discret, en sifflant des chimères. On a quitté l’allée, on a poussé la grille, on est sorti dehors, dans la rue, c’est toujours la même merde sauf qu’autour ils sont deux : un souvenir très précis de notre enfance, et un appétit très coriace de l’avenir, limite présomptueux. On est moins seul. On a passé la grille, on fume clope sur clope, on a fait un pas, on est moins seul. Moins con. Moins carcasse.

Le lendemain, on se dirige d’un pas enthousiaste vers le boulevard. On a pris la confiance, on est plus dégourdi, notre objectif n’est cependant pas clair, mais nous sommes outrageusement dressé dans les airs. Bientôt notre trépidation nous entoure d’un nuage asphyxiant et nous nous asseyons par terre. Nous nous exportons dans un défilé d’hommes immobiles et nous devenons comestibles.

InVidé par estragon à 20:51





Jayasrium Noise #1


InVidé par Memory Three à 02:35





16 février 2009




B?

on dirait, je sais pas, du gaz, on dirait une asphyxie, on dirait, je sais pas, quoi.

InVidé par n(cqls)² à 15:28





°the°birth°of°Stan3°


InVidé par [g-Cl4RENKO] à 02:50





15 février 2009




cqluswired


InVidé par n(cqls)² à 19:51





14 février 2009




le palais de l'épuisement

InVidé par Memory Three à 03:15





13 février 2009




Laisse des petites taches au milieu de ses phrases (sans importance), n'est plus le même homme, est recouvert d'une tapisserie en très bon état, fout le camp tous les matins dans un horizon grisâtre ponctué de paroles bizarres, confond son visage avec une fiction, tous les matins son visage est une fiction et s'ouvre sans bruit sur les boulevards et ressemble à quelque chose comme des tiges de fleurs emmêlées, tous les matins il presse des boutons et personne ne vient lui ouvrir, tous les matins il est sur les dents, s'inspectant minutieusement, se frappant l'intérieur de coups quasi imperceptibles, marchant main dans la main avec un malentendu interminable, incliné en avant de façon très inquiétante.

InVidé par estragon à 11:45





10 février 2009




BogueNotes?matériau

des lieux en décomposition, contagieux – beauté de leur déréliction. rédaction de documents techniques, considérations asphyxiantes. riens considérés, renâclés, rabattus. heures en journées, de ça, de rien – de venir (devenir) caméléon des plus dociles (x2), teints cireux, teintes ternes, dessèchement et écriture squelette – l'origine de tous ces os. rédemption par le rien, justification par l'illusion – vite, mais ouf vite compresse de beats pour mes nerfs. me parle mais me demande tout ça, me parle mais me demande s'il n'est pas /\/\uté, mieux comme ça, après tout, après toutes ces années, vraisemblablement, toutes ces années :dans l'angle du mur, du bureau et de l'écran, dans l'angle des heures au point que les respirations anguleuses, avaler des airs anguleux, crus tancés – mais non je t'assure, purs, pas incrustés – de lignes. me demande la justification de ça, de rien. mais ouf compresse pour mes nerfs me branche hors = déconnection, plonge synapse(s) dans externéal, plonge rêve impulse. désinfection d'ici de matières à :univers accrétion création. compresse ouf fait un disque, centripète synaptique, déclenche implosion, fuite dans crâne. sous mes me demande, sous ses salives boulets, sous ces angles, sous néons aux blafards riens – cuboïdes contaminants. copie-colle, nouveau paragraphe, objet du document, récurrence du terme client dans les postillons, pluie internée, pluie folle de fous DANS MON PUTAIN DE REFERENTIEL.

InVidé par n(cqls)² à 21:55





9 février 2009




Golem


InVidé par [g-Cl4RENKO] à 23:32





|v/°/u/s/ @:v:e:z: t]r]°]u]v]&] l_e_ m*°*t* d)e) p;@;s;s;e; p!°!u!r! e(n(v(°(y(e(r( u.n. m-@-i-l- @[u[ m,°,n,d,e, e=n=t=i=e=r=

InVidé par saihtaM à 03:47





8 février 2009




b.l.e.e.d


InVidé par [g-Cl4RENKO] à 17:49





5 février 2009




BogueDailyBrainFitness?matériau

même. même tout, même rien. rien mais rien mais rien mais rien, ad encore. ouais rien de rien de rien de rien de rien. putain mais pas ouf pas de compresse pour mes neurones, putain mais pas ouf pas de compresse pour plus rien. rien c'est rien c'est rien c'est rien c'est limite d'acceptation, c'est rien tu vois rien tu vois rien tu vois rien putain. seuil les remarques comme des os, toutes ces remarques sur les pages forment des squelettes, toutes ces pages sont un ossuaire. de rien. des os de morts pour rien, des os gesticulés vitupérés, des os de salive usée pour rien. rien pour rien pour rien pour rien. des os qui remplissent, des os qui s'empilent – à longueur. des os je vois des os et nauséeux je vois des os indéchiffrables, des os qui recouvrent des propos, des os proposés pour remplir, destinés à s'empiler, à propos des os il y en a dans propos, dans tous les propos qui sont tenus ici. parlait d'os ce matin d'ailleurs, de petits os d'animaux, d'os potassés version 40, d'os dans le béton, dans les déchets, d'os en ossements qui dépasseraient le seuil de déclaration. vois des os gris, pourrais voir autre chose que des os pourris, mais vois ces os gris, ouais ossements de rongeurs, très petits, ossements gris oui. petits frêles os comme des brindilles, des petites branches grises, aux écorces malades qui assombrissent les propos et aussi ces couches successives de salive étendues sur les propos pour justifier ces os qui les assombrissent, les rendent encore plus ad indéchiffrables, les seuils, les limites, moi je vois un nombre d’os de brindilles au mètre carré, 21 x 29.7 x [des pages et des pages et des pages] centimètres² ( = rien x rien x ad) d’os salivés à quoi bon pour des spécifications déjà usées dans nos os, ouais nos putains d’os, alors à quoi bon saliver des brindilles de remarques et barrer pour barrer pour barrer pour rien tout compte fait.

InVidé par n(cqls)² à 21:27





4 février 2009




BogueReloaded?matériau

dures phrases sur masses, seuils, stressé de service, l'autre là, crois marmonne du genre pète un câble x 3 = pète un câble pète un câble pète un câble, femmes de ménage l'odeur des produits d'entretien, chaque jour différente, les cadavres de mouches stagnent toute l'année autour de ma position, pas de signes extérieurs de décom(position), ô chitine. est-ce la pluie verglaçante, douleur dos chaque fois fenêtre, mais ouf compresse pour mes neurones //_//, chaque un compte-à-rebours des heures restantes avant soir, temps toxique ad aeternam, voire haine. appel :2 sonneries, voudrait parler, pas là, question :mesure passive, densité, je dis bien apparente, ah pardon, merci. retour tableau, interprétation de l'inverse et son contraire, comment – non. mais ouf compresse pour mes neurones //_//, ouf mais le temps, est-il ralenti par quelque agent chimique dilué dans la ventilation. dehors tempête, pisser, observation les urinoirs toujours situés à droite des cabines, au-dessus du droit une bite qui tire des balles (des balles !) vers une cible indéterminée, il y a une flèche pour indiquer le sens de propagation (des balles), puis l'emplacement de trois vis, il y eut trois vis, et quoi. quelque chose derrière le mur, quelque chose de névralgique, j'y songe.

chose psy j’y resonge le soir, reconsidère davantage convergence vers ce mur.

InVidé par n(cqls)² à 21:44





3 février 2009





InVidé par [g-Cl4RENKO] à 12:29





2 février 2009





InVidé par estragon à 23:53





« En fait donc, en fait ce qui se passe c’est que je t’aime, mais je t’aime que si t’adhères à mes opinions, et je t’aime que si tu vois plus tes amis, et que si tu portes plus ta cravate verte, et c’est pour ton bien tu vois, je t’aime mais que si tu me laisses te redessiner. Et c’est de l’amour, ouais monsieur, je t’aime que si t’es pas toi, et j’aimerais bien que tu me laisses te redessiner, te remodeler, mais je t’aime attention, va pas croire que, bien sûr, bien sûr que je t’aime, ouh la la, attention, je t’aime ! Mais je te dis, je t’aime que si j’arrive à te faire être un peu moins toi, parce que tu vois je me sentirais un peu mieux que tu me ressembles, que tu sois mon clone, que tu te plies, que tu sois un petit papier entre mes doigts et j’écrirais sur toi comme sur une page blanche, je te réécrirais, ça me ferait kiffer de te réécrire, un petit pouvoir moite et morbide, te faire pas être ce que tu es, ce que ce serait kiffant, je t’aime que si t’es toi selon moi, j’aimerais beaucoup oui.

Et tu vois c’est marrant comme je ressemble à l’espèce humaine, et d’ailleurs nan, nan, je ressemble pas à l’espèce humaine, qu’est-ce que j’ai dit là, pas du tout, je t’aime parce que t’es pas comme les autres, ouh la, je vais poser mon index tridimensionnel sur ton front, je vais te distinguer parmi le troupeau, moi, grand n’importe quoi, je vais t’élever jusqu’à moi, te distinguer, et puis juste après t’expliquer en quoi t’es pas bien et en quoi tu devrais te laisser remodeler par moi. »




Petit traité de la manipulation mentale à l’usage des sectes et autres.

InVidé par estragon à 23:29





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InVidé par n(cqls)² à 20:17




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