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ça recommence, cette sensation, sournoise – de dévers. ça recommence et ça s'accumule. il y a une bonde de secondes qui fuit, sans ouf compresse pour mes nerfs, ah ça recommence, oui. ça recommence à fuir, à me fuir – bordel de bonde. à s'échapper, à m'échapper. ça prend forme, ça se déforme, sournoisement en dévers. par capillarité. login, merde aucun des 15 mots de passe ne veut, CAPS LOCK, virgules, tout ça, rien ne veut. les degrés, putain, la capillarité du moment, les faces, leurs faces – de fions. en mono, toujours, et pas l'ombre ouf d'une compresse pour mes neurones, je veux vibre. reload :toujours rien. donne tout, sois purge, sois efficace, téléphones en background, pas l'ombre en background, bavardages pressés, invectivés, résultat. purge. abandonne tout, chapitre six, démonstration et dimensionnement. dégradation des hypothèses, passage en revue de l'impact, je suis purge, je suis invectivé par le fonctionnement, les rouages purgent, te délitent, te transforment en fuyard :de toi-même. je rentre dans son bureau, lord of the bones, j'entends quelques instants ses expligations, chercher dans un tableau, puis le background me submerge, la conversation dans le cube d'à côté, stérile et le ciel. dessous, nous nous broyons les os dans la machine, le progrès est-ce la machine qui nous broie les os, à l'aise, nous, cous donnés, abandonnées, tendus – facile pour elle, inertiée. je verse, dévers sournois, je ne dépasse rien, je rentre dans son bureau et d'emblée je vois le ciel qui s'y déverse. tout y surnage, tout y est :rien. réunion, il se désarticule les explications, les bras venteux, il occupe un parallélépipède, il occupe une existence, lord of the bones, mais purge, purge lui-même, se, et les autres – donnez tout. soyons purge, mais je n'ai pas ma ouf compresse – ainsi que mon habilitation à faire abstraction du background, des stockages de cubes qui résonnent, téléphones.